Deze aantekeningen met betrekking tot Fernand Khnopff zijn bewaard bij correspondentie van Jules Comte aan Philip Zilcken. Van dit tijdschrift was Jules Comte de oprichter. De transcriptie van dit blad luidt: Près de Bruxelles [linkerbovenhoek] Il semble exister une loi qui fait évoluer presque tout artiste vers une largeur, une simplification de travail caractéristique. Rops, Whistler, Storm de ‘s Gravesande, beaucoup d’autres encore débutent par des travaux serrés, inspirés plus au moins par le grand Maître Rembrandt, puis ils en arrivent, vers la fin de leur carrière à exprimer en quelques traits sommaires l’essence même de leur vision du Beau. Khnopff, par contre, s’improvisa pointe-séchiste synthétique faisant preuve d’une maîtrise technique déjà complète. Sa première estampe est déjà complète et son expression succinte. Déjà se montrent ses qualités innées et caractéristes [sic], sa rare délicatesse, son sentiment pénétrant et subtil. Chaque trait dans ses pointes sèches est souple, direct, expressif, d’un dessin senti et pondéré qui rappelle les plus purs états de Rops, ce grand [xxxx ?] absolument magistral dans des croquis tels que le premier jet du « frontispice » (Ramiro, n° 154). ------------- Dans les noirs un travail avec logique [?] à celui de cet artiste inconnu et de premier ordre : Renout. ------------ Au (Comte) A. Gilbert de Voisins [= schrijver en vertaler Comte Auguste Gilbert de Voisins (1877-1939)]